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NOM : Vanderbilt. Oui vous savez, comme cette célèbre famille américaine qui a joué un rôle significatif dans l'histoire des États-Unis. Et pour cause, elle est la dernière à les avoir rejoints. Son nom de jeune fille est Cartwright, nom bien plus modeste.
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PRÉNOM(S) : Sixtine. Joli prénom que ses parents affectionnaient pour sa seule sonorité et elle doit bien avouer qu'elle l'aime aussi.
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SURNOM(S) : Sixte, Sixty et tous ceux que votre imagination trouvera bon de lui attribuer. Elle a toujours été très tolérante à toutes les déformations qu'on fait subir à son pauvre prénom.
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DATE DE NAISSANCE, ÂGE ACTUEL : Elle a fêté il y a peu ses 25 ans en grandes pompes. Elle est née le 26 juillet 1984.
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LIEU DE NAISSANCE : Elle est née dans une clinique londonienne. Et oui, notre charmante Sixtine n'est autre qu'une parfaite petite British.
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ÉTUDES : Elle a un diplôme de littérature et langues française et russe du St John's College, l'un des collèges constitutifs de la célèbre université d'Oxford.
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OCCUPATION : Absolument aucune. Si on devait lui trouver un métier, ce serait sans doute celui d'être accrochée au bras de son mari comme un parfait bijou lors des galas de charité ou des conférences de presse. Si certains voient cela comme une consécration... dieu que cela ennuie Sixtine ! Elle est ainsi engagée politiquement et on la voit souvent faire la page de magazines en tant que fervente protectrice des plus démunis : ouvertures d'hôpitaux, d'écoles... A vrai dire, elle croit en ses causes mais pas de cette façon. Tant de mondanités l'ont complétement désillusionnée. Depuis, elle ne cherche qu'à se désennuyer... et quel meilleur endroit pour cela que Las Vegas ? C'est son lieu de vacances favoris... et vu qu'elle est toujours en vacances ! Son mari a finalement abandonné l'idée de la suivre jusque dans le Nevada chaque fois que son bon plaisir le lui dicte. Toujours aux tables de jeu, ou bien en train de s'acheter de nouveaux produits de luxe... elle flambe son argent à une telle vitesse ! Dépenser à tort et à travers... voilà de quoi sa vie est faite.
— portrait psychologique.
(SECTION FACULTATIVE)« Le rôle d'un ami, c'est de se trouver à votre côté quand vous êtes dans l'erreur puisque tout le monde sera à côté de vous quand vous aurez raison. »(avis du personnage.)« Aimer, c'est perdre le contrôle. »(avis du personnage.)« La franchise est la meilleure des diplomaties, sans doute parce qu'elle ne fait pas de tort l'autre. »(avis du personnage.)« Jeunesse. L'âge du possible. »(avis du personnage.)« Seuls ceux qui prennent le risque d'échouer spectaculairement réussiront brillamment. »(avis du personnage.)« L'union fait la force. »(avis du personnage.)« Beaucoup de réflexion et non beaucoup de connaissances, voilà à quoi il faut tendre. »(avis du personnage.)« Il y a des occasions où il vaut mieux perdre que gagner. »(avis du personnage.)« Les apparences suffisent largement à faire un monde. »(avis du personnage.)« Il n'y a pas de moments ordinaires. »(avis du personnage.)« Un homme n'est pas malheureux parce qu'il a de l'ambition, mais parce qu'il en est dévoré. »(avis du personnage.)« On n'est libre qu'en étant seul. »(avis du personnage.)•
CARACTERE :(20 lignes minimum. cependant, nous vous
accorderons moins si vous avez raisonné
sur les affirmations précédentes.)•
HISTOIRE : Une douce nuit de juillet, Elise Cartwright accouchait de son deuxième enfant : encore une fille. Colin Cartwright, lui, faisait les cent pas dans la salle d'attente. Il avait ressenti une pointe de déception en apprenant qu'il n'aurait pas cette fois-ci non plus, un petit garçon. Mais maintenant que l'enfant arrivait, comme c'est le cas de tout père à cet instant, il se fichait bien du sexe de l'enfant pourvu qu'il soit en bonne santé, et que sa femme aussi. Elise et Colin n'avaient jamais été spécialement proches, on ne pouvait pas dire qu'ils s'aimaient... peut-être avait-ce été le cas un jour. Mais leur existence consistait maintenant à cohabiter sans se gêner l'un et l'autre. Sauf aujourd'hui, car en cet évènement majeur, quiconque les voyait ne pouvait penser qu'une chose : ils formaient une vraie famille. De moments trop rares, malheureusement, penserait plus tard la petite Sixtine.
"Bulle" est sans doute le terme le plus approprié pour évoquer l'enfance de Sixtine. Elle a longtemps vécu dans cet univers coloré où le mal n'existe pas. Sa famille possédait un grand domaine et ses journées étaient faites de cours donnés par un précepteur, d'initiation à différents arts, à l'équitation, au jeu de Lacrosse. Une éducation soignée qui devait la conditionner. Mais elle aimait beaucoup cela, c'était toujours une joie pour elle lorsque les différents enseignants se rendaient chez eux. D'ailleurs, instruire Sixtine était pour eux un véritable plaisir. Elle se montrait polie, assidue, aimable mais surtout sincère. A croire que c'était un trait de caractère qu'ils n'avaient que rarement observé dans ce milieu. Mais comment n'aurait-elle pas été heureuse de les voir alors qu'ils étaient les seuls à lui offrir un peu d'attention ? Son père était sans cesse en voyage ou invité de marque lors de différents dîners. Sir de naissance et membre de la Chambre des Lords, il est encore maintenant un passionné de politique et même quand il est là, on le sait absent. Sixtine a encore en mémoire les moments de tendresse vécus avec son père. Il est là, se tenant dans le grand salon se détendant grâce à la lecture d'un livre. Elle s'agenouillait à côté de lui et elle pouvait le regarder pendant de nombreuses minutes sans se lasser. Il était beau, stricte aussi dans son attitude mais il avait ce léger sourire apaisé, comme chaque fois qu'il lisait. Alors simplement, elle déposait sa tête sur ses genoux et lui carressait les cheveux de la dernière de la famille, l'air absent. Et pourtant, ces moments là, elle ne les aurait jamais échangés. Avec sa mère, c'était différent... Elise Vanderbilt était bien plus présente. Membre de plusieurs clubs, elle trouvait néanmoins toujours le moyen d'être la parfaite mère au foyer toujours là pour son époux et ses deux filles. Toujours pimpante, aimante, attachante et folle de ces deux petits amours... mais dans le cas présent, c'était de Sixtine que venait le bloquage. Elle n'était pas très grande et pourtant, sa mère la dérangeait trop souvent. Elle était une enfant qui affectionnait le calme, tenant sans doute de son père sur ce point. Parfois occupée à jouer à la dînette avec ses peluches, ou bien jouant à la maîtresse, sa mère ouvrait grand la porte pour s'introduire dans son univers sans la moindre retenue : elle voulait que Sixtine lui raconte comment elle allait, ce qu'elle faisait, elle voulait tout savoir. Tout le temps. Mais Sixtine voyait bien que sous tous les acquiescements de sa mère, son esprit était tout à d'autres pensées... le grand gala qu'elle devait organiser, leur prochain lieu de vacances, des commèrages entre copines. Au fond, elle n'écoutait jamais vraiment. Et c'est ce qui mettait Sixtine si mal à l'aise, une impression de faux-semblant. Etrangement, elle ne retrouvait pas cela quand elle regardait sa mère jouer avec sa grande soeur Lynn, de deux ans son aînée. Il y avait une telle complicité entre elles ! Depuis toujours, un lien fort les unissait, si fort qu'il excluait toutes autres personnes de ce petit univers. Sixtine aimait les observer, elle les trouvait vraiment belles à regarder dans leur bonheur. Mais elle ne voulait pas y participer, être la tâche de ce beau tableau. Et malgré les invitations répétées, elle refusait toujours si bien que, les invitations se firent toujours plus rares... Sa soeur ? Que dire sinon que Lynn était exactement comme sa mère, aussi bien physiquement que mentalement. La petite Sixtine s'en émerveillait, vraiment. Mais en grandissant, elle se rendit compte que le tableau était bien plus sombre. Pour l'instant, cette bulle grossissait, prenait sans cesse de l'ampleur encore et encore, mais bientôt, elle éclaterait.
Sa vie n'était alors pas bien remplie et elle ne faisait les rencontres que des personnes que ses parents jugeaient bon de connaître, des cousins plus ou moins éloignés, des familles du même milieu... Les mêmes visages défilaient durant de longues réceptions. Si l'univers pailleté faisait rêvé l'enfant qu'elle avait été, il ne faisait qu'ennuyer la jeune adolescente qu'elle était devenue. Elle remarqua vite que c'était également le cas de son père. La vérité était qu'il n'était pas un homme heureux, elle le voyait toujours soit en train de travailler, soit en train de boire pour déconnecter de ce quotidien insupportable. Quant à sa mère, dieu qu'elle était dépendante du regard des autres ! Il fallait qu'elle plaise à tout le monde, qu'elle soit le centre d'attention, qu'on la regarde, l'admire, la félicite... et elle avait fait de la grande soeur chouchoutée, la même personne. Ce qu'elle avait pu lui enfler la tête ! Résultat, Lynn était de plus devenue une véritable garce. Car en plus d'avoir l'esprit de leur mère, la nature l'avait dotée d'une beauté rare. Elle savait qu'elle plaisait aux hommes et elle n'avait cesse d'en jouer. Elle avait pourtant déjà un bon parti : William Vanderbilt, celui qui deviendrait plus tard l'époux de Sixtine. Il avait en effet d'abord été promis à la soeur aînée. Enfin, rien d'officiel. Une certaine nostalgie du moyen-âge forgeant l'élite à laquelle la famille Cartwright appartenait... des regards entendus entre les parents, des allusions sur la beauté qui ressortiraient de l'union de ces deux adolescents, des vacances organisées avec seulement eux, des fêtes uniquement pour eux. De nombreux stratagèmes qu'on remarquait vite quand on était baigné depuis toujours là-dedans. Lui, garçon timide et alors docile... et elle beauté piquante insaisissable. Un monstre d'arrogance, vraiment. Toujours à l'écart, Sixtine observait... elle n'avait alors que quatorze ans et elle était, pour tout ce beau monde, bien insignifiante. Polie mais peu bavarde, intelligente mais trop discrète, jolie mais moins que Lynn. Ce n'était pas dans sa famille qu'elle se ferait sa place, ni dans le cercle de la haute socitété... pour l'instant dumoins, ce serait au lycée.
Jusqu'à ses 16 ans, elle avait suivi des cours avec différents précepteurs et tuteurs. Quand bien même elle n'aurait pas été intéressée par le fait d'apprendre et de s'instruire, elle n'aurait pu qu'avoir une solide base culturelle. Elle obtint sans grande surprise l'examen final avec succès, et le Collège d'Oxford l'acceptait, comme cela l'avait été planifié. Elle était ravie de pouvoir enfin s'échapper de ce cocon étouffant, l'impression qu'elle allait enfin vivre. Car que savait-elle alors de la vie ? Elle savait ce qu'elle en voyait à travers les livres, les films, les journaux, les quelques discussions écoutées d'une oreille curieuse.
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(TITRE AU CHOIX) :(il s'agit d'une partie totalement libre.
pays préféré, plat préféré, particularité,
manie, etc... pensez à structurer !)•
« LAS VEGAS ? POURQUOI DONC ? »(expliquez ici la raison du séjour -plus
ou moins long, s'entend- de votre personnage.
le travail, le plaisir, autre ?)•
Personnalité figurant sur l'avatar : Kate Beckinsale
<3•
Prénom/Surnom (pseudo) : Marie
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Âge : 17 ans
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Sexe : fille
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Multinicks ? Nop
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Commentaires/Suggestions ? J'ai d'abord craqué sur le design... James Franco oblige !!! xD Plus sérieusement (comme si je l'avais pas été avant -___-), je trouve ça très original ce design et ça fait du bien ce changement ! Le contexte est original aussi et promet de superbes intrigues... Et puis Viva Las Vegas !!! =D Noon vraiment, j'ai que des commentaires positifs. Donc tout ça pour dire, vous avez fait du très bon travail... ^-^
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Lora
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